Marion Curtillet

I. Carte d’identité

  • Date et lieu de naissance : 25 mars 2019, dans la tête d’une écrivaine. À Villeurbanne.
  • Sexe : physiquement féminin. Spirituellement asexuée.
  • Physique : standard. 1 m 70, yeux marrons, cheveux bruns. RAS.
  • Profession : romancière, éditrice, médiatrice culturelle.
  • Vie privée : mariée, mère d’une famille nombreuse (non recomposée. C’est son côté traditionnel…)
  • Religion : ne sait toujours pas, cherche encore.
  • Politique : se délecte du spectacle mais ne participe pas.
  • Signe particulier : se promène avec une poussette bleue.
  • Adresse sur Facebook : ici
  • Adresse sur Instagram : ici

Marion Curtillet

II. Ses qualités, ses défauts

C’est un entretien d’embauche ou quoi ?!?

Qualités : imagination, humour, énergie. Parfait pour être écrivain !

Défauts : impatience, impulsivité, incapacité à apprendre quoi que ce soit et à appliquer des règles -> pour être écrivain ça passe (avec un binôme pour corriger l’orthographe et la grammaire bien sûr). Ingénieur ou comptable, ça aurait été plus compliqué…

III. Elle aime…

Ses goûts profanes sont d’une affligeante banalité, vous allez être déçus… Elle aime regarder la coupe du monde de foot, manger du chocolat, des fraises, des cerises, des pêches, du raisin, du fromage, lire des livres de Jean-Christophe Rufin et Pierre Lemaitre, marcher, écouter des concerts tout simples en bas de chez elle, et aller au cinéma. Elle aime aussi les chansons à texte, et adore les chanter. (Elle fait partie de ses personnes qui ont toujours une chanson dans la tête, vous savez ?)

Marion Curtillet tient la pose...

Ses goûts sacrés sont tout aussi banals : vieillir jour après jour avec celui qui partage sa vie, regarder grandir ses enfants, s’occuper de ses fleurs, travailler en équipe, partir de rien et en faire quelque chose, faire la fête avec ses amis, et toutes les surprises dont la Vie lui fait cadeau.

Ah si ! Il y a peut-être une chose qu’elle aime et qui est un peu moins banale : les vacances. Car voici comment elle les aime, ses vacances :

C’est sa façon à elle de se ressourcer. La petite parenthèse dont elle a besoin pour se retrouver, remettre les choses à leur juste place, et l’espace de quelques jours, rétablir en elle la fusion entre le profane et le sacré justement. Se rappeler qu’ils sont indissociables.

IV. Qui est-elle vraiment ?

En préambule, précisons déjà que Marion Curtillet est un pseudonyme. Vous ne la trouverez pas dans les Pages Jaunes.

Pourquoi un pseudonyme ? Premièrement, parce que Johnny Hallyday c’est un pseudonyme et ça a l’air de bien marcher ; deuxièmement, parce que Marion Curtillet est mariée et mère de famille, et qu’elle veut écrire ses livres librement, sans se dire : « je ne peux pas écrire ceci ou cela. » Troisièmement, parce que c’est très excitant d’être quelqu’un d’autre !

Pourquoi Marion Curtillet comme pseudonyme ? Curtillet, c’est une partie de son vrai nom de jeune fille et elle l’aime beaucoup, il pétille ! En plus, il veut dire « petit jardin » en patois savoyard, tout un programme ! Quant à Marion, il y a « rion » dedans. Ce qui fait un pseudonyme qui rit et qui pétille, et c’est là la base de son ADN !

Et alors, mis à part qu’elle rit et qu’elle pétille, comment est-elle, cette Marion Curtillet ?

Elle est ce qu’elle décrit en quatrième de couverture de son livre : la liberté, la passion, et la dérision.

La passion

Marion Curtillet est emportée par ses passions et flétrit jusqu’à mourir d’ennui en quelques jours si elle ne reçoit pas régulièrement sa dose d’émotions. Positives, négatives, peu importe, pourvu qu’elles soient !

La liberté 

Marion Curtillet est la Liberté (mentale exclusivement puisqu’elle n’a pas de corps bien sûr). Liberté de suivre ou pas le troupeau. Liberté d’agacer ou de séduire. Liberté d’aimer ou de ne pas aimer. Liberté de penser une chose et son contraire (ça ne lui pose aucun problème), et de réinventer sa vie chaque matin.

La dérision

Marion Curtillet vit perchée dans son monde. Loin, loin, tout là-haut dans les nuages. En même temps, ses deux pieds sont boulonnés dans le plot en béton armé de la logistique qui la maintient fermement arrimée sur le sol. Un contraste qui la fait beaucoup rire elle même.

Petit aperçu en images de sa façon bien à elle de mêler le « là-haut » et « l’ici-bas » :

Une façon de voir…

V. Pourquoi bleue, la poussette ?

Une poussette bleue dans un monde de poussettes noires. Hymne à la différence ? Ode à la liberté ? Point levé contre l’uniformité ? Et non… Marion Curtillet est bien trop basique pour tout ça ! Si la poussette est bleue, c’est uniquement parce qu’elle date d’une époque fort reculée, que les moins de dix ans ne peuvent pas connaître, dans laquelle les poussettes étaient de toutes les couleurs. Et que ses beaux-parents, tout juste devenus grands-parents, l’avaient alors choisie bleue sans doute parce qu’ils aimaient… le bleu. 

Voilà comment elle se retrouve aujourd’hui avec une poussette « bleue ». C’est simple, et beau comme tout ce qui est simple ! 

Marion Curtillet et sa poussette bleue. La vraie.

VI. Bibliographie (aux éditions Du sable et des cailloux).

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